Revue de presse
The Big Kopinski – Karl Kopinski
Scent of a gamer
« Something someone far wiser than me once said is: get a job doing what you love, and you’ll never work a day in your life. Karl’s words provide a slightly different take on this saying. He points out he has a job doing what he loved doing when he was 5, but he works hard. Other artists he know are the same, doing what they love and working hard.
The results of Karl’s hard work are there to see throughout this book. Sketches doesn’t really do justice to what is presented here. Fully formed characters leap off the page, challenging you with a look, or an insouciant glance. other character ignore the viewer, intent on their own concerns. »
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The BESTiary – Armel Gaulme
L’atelier de Litote
« Ce livre est une première pour moi, je n’avais encore jamais eu l’occasion de feuilleter un tel « Bestiary ». Armel Gaulme nous donne à voir de superbes planches de dessin, pour la plupart réalisées au crayon à papier et quelques unes en couleur. Il s’agit là de portraits, de caricatures… de nombreux animaux avec des traits de caractères ou des traits physiques appartenant aux humains. Plus d’une centaine de planches où « la finesse de l’esprit et du trait de crayon sont délivrés d’égales façons » [John Howe]. »
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Elsewhere – Jesper Ejsing
Kiriiti Blog
« […] de temps en temps, une illustration est accompagnée d’une description sur sa réalisation. Sur quoi Jesper Ejsing voulait attirer le regard, ce qu’il a changé par rapport à l’idée de base ou tout simplement une petite anecdote sur l’époque où le dessin en question a été effectué. Ce fût mes passages préférés et j’aurais aimé qu’il y en ait davantage parce que je trouve ça particulièrement intéressant de comparer ma vision du dessin avec l’objectif que l’illustrateur avait en tête au moment de sa conception. »
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Val et PL
Magic Arena FR
Yozone
« L’art de la Fantasy par un illustrateur de Magic The Gathering, de World of Warcraft, de Fantasy Flight Games, et des ouvrages de Donjons et Dragons. »
Panorama spectaculaire et aventureux par un artiste danois illustrateur et peintre indépendant
Lire l’article Jesper Ejsing : Fantasy et sales bestioles
Lire l’article Expo Yozone: Jesper Ejsing et ses foutus dragons
Lire l’article Ailleurs ou Elsewhere, l’Artbook de Jesper Ejsing
Tellement Geek
L’atelier de litote
« Le début du livre nous propose quelques pages du travail étape par étape d’une esquisse jusqu’à sa mise en peinture. On trouve une superbe photographie en noir et blanc de l’artiste dans son atelier et enfin les choses sérieuses commencent avec un premier chapitre dur le thème des dragons. J’ai beaucoup aimé le choix des illustrations des différents chapitres qui sont réalisés au crayon noir en toute simplicité et qui pourtant révèlent déjà toute la force, le mouvement et l’originalité liés au thème. Le petit plus est de retrouver en tournant la page le dessin dans sa forme finale et aboutie, c’était un véritable plaisir de lire le texte explicatif. »
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Scent of a gamer
« The majority of the book is given over to the art, as you would expect. A few pages also feature commentary from Jesper on one of his pieces, again providing insight into the creative process. Each of these insights is printed in both English and French.
The book is thematically divided, so ‘dragons’, ‘adventures’, and ‘inhuman’ are three of the sections, each featuring art that follows the theme. Larger illustrations feature in great double-page spreads, while other illustrations take up a whole page, or sometimes two to a page. »
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Les Gardiens du Maser – Frezzato
Undersociety
« Il y a des intégrales qui sortent chaque année, mais “Les Gardiens du Maser” dans cet version définitive reste et restera longtemps comme une référence dans le genre. J’espère que l’éditeur aura l’idée de sortir d’autres intégrales de l’auteur ! En attendant je ne peux que vous conseiller l’achat des “Gardiens du Maser” en intégrale. »
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Tellement Geek
Lire en bulles
« Cette intégrale de Les Gardiens du Mazer est une découverte sublime, dépaysante, entraînante, et qui est un bel hommage à l’univers de la science-fiction et du steampunk. La douceur du trait de Massimiliano Frezzato se marie très bien avec son univers post-apo où l’action et la stratégie jouent à armes égales. Un petit bijou, voilà tout ! »
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Cinebook
L’histoire est loufoque et aventureuse avec un petit côté dramatique que je trouve parfois écrasé par l’humour. Néanmoins, il y a sans cesse des rebondissements qui ne vous laissent pas le temps de vous ennuyer. Les personnages sont attachants, drôles et caractériels. Leurs aventures vous fera forcément passer un moment de rire et d’aventure.
Maintenant, je tiens à vous parler de cette édition. Elle regroupe les six premiers tomes de la saga, mais également des dessins et des détails sur l’univers et les personnages avec une couverture inédite, des nouvelles couleurs et une nouvelle traduction.
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L’atelier de Litote
« C’est magique ! Avant chaque nouveau chapitre, il y a la planche d’un personnage ou d’un décor exécuté en grand format, sur la page entière, c’est juste parfait. Les vaisseaux qu’ils soient aériens ou sous-marins sont fantastiques et leurs graphismes irréprochables. C’est visuellement beau, je pourrais mettre en référence Enki Bilal ou encore Moebius mais finalement Frezzato est à lui tout seul sa propre référence. »
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Superboy sur BDgest
« J’ai vraiment accroché à mort et c’est sans aucun doute une des lectures récentes qui m’a le plus marqué. Je pense que mon histoire personnelle avec cette BD doit grandement jouer sur ma subjectivité, mais l’enthousiasme est bien réel et inextinguible.
Pour résumer, une lecture prenante menée tambour battant, un auteur au style affirmé qui sait ce qu’il veut raconter et une édition à la hauteur de l’œuvre, dans Mortal Kombat, on appelle ça une fatality. »
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The Kong Crew vol.1 – Éric Hérenguel
Com’ dans ta bulle
« C’était bizarre, car dans la même période j‘ai arrêté un travail de production en tant que scénariste chez Ankama. Donc, plus de travail d’un coup ! Dans la semaine, en une nuit, est venue The Kong Crew, je me couche, et au matin j‘avais toute l’histoire, le titre, mais pas le nom des personnages. J’avais la pleine page de la ville tel un film !J’avais pris aucune note pendant une semaine sur cette BD, en estimant que si elle survivait pendant une semaine, c’est qu’elle tenait le coup. »
Citation issue d’une interview d’Éric Hérenguel réalisée par le blog Com’ dans ta bulle, lors du festival d’Angoulême.
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Superpouvoir.com
« Dès la première page un plan large en mode cinémascope nous présente le New York de 1947 : après que le gorille géant se soit échappé, Manhattan est devenue une jungle inextricable où plus personne ne peut pénétrer après l’exode décrété par le gouvernement. La cité des grattes-ciel est devenue une île sillonnée par des patrouilles aériennes, la Kong Crew, formée de têtes brûlées qui n’ont qu’un objectif, montrer aux planqués de l’Air Force qu’ils sont les héros qui abattront Kong. »
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Phil and Co
« Excellent!!! King Kong a gagné en 1933 et il est devenu le “roi” de Manhattan. 14 ans plus tard une escadrille (Kong Crew) tente de réinvestir les lieux. C’est de la série B au top, du pulp fait avec amour, passion, et surtout…des moyens. Le risque était que l’auteur s’amuse et fasse de ce comics en noir et blanc une simple récréation. Que nenni! C’est hyper investi, super travaillé. Un bonheur. Plein de références comme le Rocketeer de Dave Stevens bien sur (entre autres pour le traitement à la fois sérieux et second degré), l’école Frazetta pour l’encrage (qui est excellent de bout en bout) Eisner pour beaucoup de perso et leur langage corporel… »
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The Kong Crew vol.2 – Éric Hérenguel
